Le remplacement du système actuel d’assurance chômage par un dispositif universel géré par l’État s’accompagnerait de la suppression des cotisations salariales d’assurance chômage.
Combinée avec la suppression de la cotisation salariale d’assurance maladie et une hausse de moindre ampleur de la CSG, cet ensemble de mesures se traduirait, pour ce qui concerne les salaires, par un gain de pouvoir d’achat (net à payer plus élevé).